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Cap-Vert 2025

 
Ça faisait plusieurs années que l’idée d’aller au Cap-Vert me trottait dans la tête.
Cette fois-ci, j’ai laissé mon vélo à la maison, et j’ai pris un avion avec mon sac à dos.
Je n’étais pas toute seule, mais avec mon compagnon de vie, à deux, en couple et c’était chouette !

On a atterri à St-Vicente, après une escale à Lisbonne.
On est restés une quinzaine de jours sur place, alors il a fallu choisir les iles, car sur les 10 archipels c’était impossible de toute les visiter.

Comme on adore la randonnée, et les plages, nous avons privilégié l’ile de Santa Antao, St-Vincente et Sao Nicolau.
Elles se trouvent au nord-ouest du Cap-Vert, on peut les relier en prenant un ferry.
Ce sont les trois iles les plus verdoyantes et montagneuses de l’archipel.
On y trouve beaucoup d’agriculture, comme le café, la canne à sucre, et les légumes tels que la patate douce et la courge.

On a été surpris et émerveillés en bien par ces iles volcaniques.
Il n’y a pas de tourisme de masse, c’est encore un lieu très préservé sur la planète.
Les montagnes et les plages sont sauvages, avec peu d’humains aux alentours.
Le peuple capverdien vit énormément de la pêche et de l’agriculture locale. Mais le tourisme reste le revenu principal.
On a eu un accueil chaleureux et souriant de leur part.

Dans les vallées reculées, on peut encore voir des gens travailler ou porter des marchandises avec l’aide des ânes.
Toutes les routes sont faites en pavés avec de la pierre volcanique, et elles sont très bien entretenues.